Les actions à conduire

Mis à jour le 05/06/2019

Le protocole prévoit plusieurs dispositions importantes , dont certaines sont innovantes :

 une réduction globale des volumes du projet, de 15,9 Mm³ à 12,7 Mm³ ; la répartition des volumes entre les réserves et ce qui pourra continuer à être prélevé en été fait actuellement l’objet d’une nouvelle modélisation des impacts.


la nécessité pour tous les irrigants du bassin, raccordés ou non aux réserves, de réaliser un diagnostic complet de l’exploitation, intégrant des volets relatifs à la biodiversité et à l’économie, et de suivre des formations (usage des produits phytopharmaceutiques, pilotage de l’irrigation, agroécologie).


la nécessité de faire des choix d’actions en faveur de la biodiversité, de faire évoluer certaines pratiques agricoles et de s’impliquer dans des actions en vue de réduire de façon significative l’usage des produits phytopharmaceutiques.


l’élaboration d’un schéma directeur en faveur de la biodiversité aquatique et terrestre ; ce schéma sera élaboré selon les modalités préconisées par le comité scientifique et technique.


la mise en place d’une gouvernance politique et technique adaptée au projet. Les membres des différentes commissions sont listés en annexe du protocole . Retrouvez en ligne les avis de la commission d'évaluation et d'incidence.


une révision du règlement intérieur de l’organisme unique de gestion collective de l’irrigation agricole (OUGC) qui est l’établissement public du Marais poitevin dans ce bassin (EPMP) ; vous pouvez accéder au site de l’EPMP en cliquant ici. Le règlement intérieur est disponible sur ce site.


une augmentation sensible des mesures d’accompagnement en faveur des sites Natura 2000, portées par le maître d’ouvrage. Ces mesures figurent dans le  protocole et doivent être traduites par le porteur de projet dans un dossier complémentaire.